Par
Benjamin Long
, le
1/9/2025
Excel a marqué l’histoire des entreprises. Des premières prévisions budgétaires aux modèles financiers sophistiqués, tout ou presque a déjà été fait avec lui. Sa force est sa polyvalence : il permet de tout faire. Sa faiblesse est la même : il permet de tout faire… jusqu’au moment où l’ensemble devient ingérable.
À mesure que les organisations grandissent, que les départements s’autonomisent, que les données se multiplient et que la vitesse d'exécution devient stratégique, Excel perd sa superbe. Et c’est là que les plateformes d’Enterprise Performance Management (EPM) comme Pigment entrent en jeu.
Elles ne cherchent pas à remplacer Excel, mais à dépasser ce qu’il ne peut plus faire : collaborer, projeter, simuler, sans casser, sans versionner à l’infini, et sans perdre le sens. Voici 7 cas d’usage qui éclairent ce basculement, avec des histoires réelles d’entreprises déjà passées à l’EPM.
Dans la plupart des organisations, le budget annuel ressemble à une course de relais dont la ligne d'arrivée se déplace sans cesse. Fichiers Excel envoyés par chaque département, consolidation manuelle, risques d’erreurs, versions multiples. Une guerre de cellules masquée sous des sourires en réunion de COMEX.
La Ville de Lyon a connu cette situation. Avant Pigment, son budget était consolidé à la force du tableur. Résultat : 39 jours de saisie manuelle, 100 jours-hommes de traitement global pour l’ensemble du processus. Depuis qu'elle utilise Pigment, tout est centralisé, fluide, piloté en direct dans le même espace collaboratif — sans fichiers, sans versioning sauvage.
🔗 Lire le cas client complet : https://www.pigment.com/fr/clients/ville-de-lyon
La masse salariale est le premier poste (et casse-tête) des entreprises : recrutements, départs, remplacements, primes, charges sociales, hypothèses de croissance, enveloppes par entité… Le modèle Excel grandit, se ramifie, devient instable, parfois jusqu’à bloquer l’ordinateur qui le calcule.
Chez Figma, tout cela a changé avec Pigment. La planification RH et financière se fait désormais dans un modèle unifié : par service, pays, ancienneté. Les simulations se lancent au clic. Les équipes peuvent tester “que se passe-t-il si on anticipe telle hausse de turnover ou si l'on double les primes dans un pays ?”.
🔗 Lire le cas d’usage RH / FP&A sur Pigment : https://www.pigment.com/use-case/finance
Les écarts entre ce qui était prévu et ce qui s’est passé réellement ne devraient jamais être une surprise. Et pourtant, avec Excel, l’analyse d’écarts est souvent manuelle, réalisée à posteriori, via des extractions comptables, des copier-coller et des formules bricolées.
Chez Carta, ce travail chronophage représentait 80 % du temps de l'équipe finance. Avec Pigment, l’équipe a automatisé la réconciliation entre “réel”, “budget” et “prévision”, et peut désormais analyser ses drivers (prix, volume, mix, géographie…) directement dans la plateforme.
🔗 Découvrez leur témoignage : https://www.pigment.com/customer-stories/carta
Tout finance sait ce que c’est : des dashboards Excel figés, mis à jour manuellement, puis envoyés une fois par mois. Si une modification intervient ? Il faut tout refaire. Le reporting est unidirectionnel, fragile, lent.
Avec Pigment, des entreprises comme Mirakl ont compris que le reporting ne doit pas être un “produit fini” à cacher dans un fichier — mais un outil vivant, interrogeable, filtrable, partagé. Avec des tableaux de bord dynamiques, Pigment permet à chaque département de naviguer à travers ses propres indicateurs, connectés en temps réel aux données.
🔗 Voir l’étude : https://www.pigment.com/customer-stories/mirakl
“Et si on ouvrait 3 marchés en 2026 ?”
“Et si l’on diminuait de 10 % l’équipe marketing tout en augmentant les primes produits ?”
Ces demandes tuent Excel à petit feu. Il faut dupliquer le fichier, retrouver les bonnes cellules, rebrancher les formules. Chaque scénario est un nouveau fichier Frankenstein.
Chez Ramp, ces scénarios se testent désormais dans Pigment, sans risque. Les versions sont instantanées, les hypothèses modifiables, les écarts visualisables. Un clic suffit pour comparer “Scénario A” et “Scénario B”, et décider avec confiance.
🔗 Lire le témoignage : https://www.pigment.com/customer-stories/ramp
Produit / région / canal / client / devise / devise locale… À deux dimensions (lignes et colonnes), Excel s’essouffle. On empile les onglets, on combine les tableaux croisés dynamiques, mais à mesure que les axes s’ajoutent, la lisibilité s’effrite.
Dataiku a réussi à fédérer ses différents départements autour d’une vision unique grâce à Pigment. Leur planification s’organise par ligne de produit, région et catégorie client, sans limite de granularité.
🔗 Plongez dans leur histoire : https://www.pigment.com/customer-stories/dataiku
Le cash est un exercice à risques. Et pourtant, dans beaucoup de fichiers Excel, le cash-flow n’est qu’un onglet annexe, mis à jour “quand on a le temps”. Pigment permet d'intégrer le cash de façon organique : délais clients, modulation de dépenses, variation sur le revenu, projection intégrée du bilan.
🔗 Voir comment Pigment gère la trésorerie et la projection de cash-flow (page finance) : https://www.pigment.com/use-case/finance
La pire erreur qu’on puisse faire n’est pas d'utiliser Excel. C’est d’en faire une plateforme de pilotage pour tout l’entreprise. Quand les modèles deviennent vivants, collaboratifs, multi-scénarios, multi-entités, Excel devient le frein — et l’EPM devient le chemin.
👉 Excel reste idéal pour l'analyse ponctuelle, l’exploration
👉 L’EPM prend le relais pour la planification, la projection, la simulation et la collaboration